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28 janv. 2016



  
mediscoop du 28/1/2016

« Loi de santé : Touraine ne lâche rien »

Le Parisien
C’est ce qu’observe Le Parisien, qui note en bref que « la ministre de la Santé n’a pas abandonné la bataille du tiers payant intégral généralisé. Retoqué jeudi dernier par le Conseil constitutionnel, son texte, réécrit et publié hier au « Journal officiel », ne rend pas obligatoire la dispense d’avance de frais chez le médecin, en novembre 2017. Il crée juste la possibilité de le faire ».
Le journal ajoute que « le calendrier initial se poursuit, malgré l’hostilité répétée des médecins. La loi promulguée hier stipule en effet qu’avant le 28 février, l’Assurance maladie et les organismes de complémentaire santé «transmett[ront] au ministre un rapport présentant les solutions techniques» permettant la mise en place du tiers payant généralisé. On continue donc de préparer le terrain, avec la certitude que les médecins céderont ».
Le Parisien remarque enfin qu’« en retoquant la loi de Marisol Touraine, le Conseil constitutionnel avait rappelé qu’il est «à tout moment loisible au législateur de modifier des textes». Un commentaire qui pourrait inciter la ministre, une fois les problèmes techniques résolus, à modifier sa loi pour imposer le tiers payant généralisé «obligatoire». Par exemple à l’automne, dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale ».

23 janv. 2016








Communiqué de presse
Loi santé : la FHP sera vigilante sur la mise en œuvre et se félicite de l'encadrement du SPH


Paris, le 22 janvier 2016 - La Fédération de l'hospitalisation privée (FHP) prend acte de la décision du Conseil Constitutionnel qui a validé partiellement la loi santé, en censurant in fine le tiers payant généralisé dans ses mesures relatives aux mutuelles et en encadrant la mise en œuvre du Service public hospitalier (SPH).

« Nous serons vigilants sur la mise en œuvre de certaines dispositions de la loi qui sont susceptibles d'avoir des conséquences néfastes pour notre secteur, en pouvant conduire à l'éviction à terme d'une offre de soins privée sur le territoire », déclare Lamine Gharbi, président de la FHP, qui regroupe 1.000 cliniques et hôpitaux privés.

Sur les sujets litigieux, et notamment les dispositions relatives au rétablissement du SPH, la FHP note que, sans remettre en cause les dispositions de la loi, le Conseil Constitutionnel a apporté dans ses considérants des précisions qui seront utiles à l'interprétation du texte et qui pourraient encadrer la concertation lors de l'élaboration des décrets d'application.

Ainsi, le Conseil constitutionnel, pour rejeter une quelconque atteinte au principe d'égalité des droits, rappelle en effet (alinéa 57 de la décision [1]) que l'interdiction des dépassements d'honoraires, comme l'une des quatre conditions d'intégration au Service public hospitalier, s'appliquent à tous les établissements publics ou privés.

20 janv. 2016




       

« Les médecins ont-ils trop de pouvoir à l’hôpital ? »

La Croix 
La Croix, qui inaugure sa nouvelle formule, revient sur « la crise actuelle à l’hôpital Georges-Pompidou, après le suicide d’un cardiologue en décembre, [qui] a mis en lumière l’existence de conflits parfois très durs entre médecins, avec des batailles de pouvoirs parfois difficiles à gérer et qui ne sont pas sans conséquence pour les patients. Pour certains, les médecins ont trop de pouvoir, pour d’autres, leur influence garantit la qualité des soins ».

18 janv. 2016



 


Bonjour à tous,
Du 3 au 7 février 2016, Toulouse sera le hub de l'oncologie mondiale.
Le Centre de Recherches en Cancérologie de Toulouse organise son premier congrès; un événement honoré par la présence de deux Prix Nobels et de scientifiques de renommée internationale. 
Toulouse Onco Week, événement novateur, réunira toutes les forces vives de la lutte contre le cancer. En effet, au-delà du symposium scientifique du CRCT, Toulouse Onco Week  fera la part belle aux présentations d'entreprises et d'académiques, aux rencontres Business to Business organisées par le Pôle de Compétitivité Cancer-Bio-Santé, aux programmes sociaux et évènements caritatifs coordonnés par Toulouse Métropole et So Toulouse -au profit de la Fondation Toulouse Cancer Santé et La Ligue contre le Cancer-.
GIESBERT & ASSOCIES
07 85 53 50 05
 

17 janv. 2016




Un avant-projet de décret sur le futur DMP soumis à concertation

(Par Vincent GRANIER)
PARIS, 6 janvier 2016 (TICsanté) - Un avant-projet de décret d'application de la loi de santé, relatif au dossier médical "partagé" (DMP), qui doit succéder à l'actuel dossier médical "personnel", a été soumis à concertation.
La loi de "modernisation de notre système de santé", définitivement adoptée le 17 décembre 2015 et dont la promulgation devrait intervenir d'ici fin janvier 2016, procède dans son article 96 à la refondation du DMP (voir dépêche du 22 septembre 2015).
Ce dispositif emblématique de la loi du 13 août 2004 réformant l'assurance maladie -dont la mise en oeuvre n'a jamais été finalisée- quittera le giron de l'Agence des systèmes d'information partagés de santé (Asip santé), dont c'était pourtant l'une des missions-clés, pour être confié à la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés (Cnamts).


  

Claude Evin : « La loi Santé est un échec total sur l’alcool »

Le Journal du Dimanche
Le Journal du Dimanche publie un entretien avec Claude Evin, ministre de la Santé entre 1988 et 1991, qui « déplore que la loi de Marisol Touraine ne porte aucune mesure choc contre l’alcool et le tabac. Il estime même qu’elle contourne sa loi, qui fête ce dimanche ses 25 ans ».
L’ancien ministre et ancien directeur général de l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France déclare ainsi que « sur l’alcool, responsable de 135 morts par jour en France, le combat est en train d’être perdu. Durant 25 ans, ce texte [loi Evin], qui réglemente la publicité pour l’alcool, a été sans cesse attaqué. Sous la pression des publicitaires et celle des viticulteurs qui dans cette affaire sont instrumentalisés, la publicité sur des affiches dans la rue a été rétablie 3 ans après, celle sur internet a été autorisée en 2009 ».



Pie. Un tchat pour le travail collaboratif

Pie est un outil collaboratif qui permet de doter très simplement votre entreprise ou vos équipes d’un système de tchat multiplateforme.
Comme l’affirment les créateurs de cet outil sur leur site, Pie est délicieusement simple. Il faut bien reconnaitre que de ce point de vue là le pari est parfaitement réussi. Pie se distingue par une mise en œuvre ultra rapide et une ergonomie aux petits oignons qui rend sa prise en main et son utilisation simples et faciles.
Pie
Pour utiliser Pie il suffit de s’inscrire sur le service et d’inviter ensuite votre équipe ou vos collaborateurs. Attention, l’outil a été conçu pour un usage en entreprise, il vous faut donc utiliser votre mail professionnel. Pie ne connectera que les utilisateurs ayant le même nom de domaine dans leur mail. C’est la seule limitation réelle pour l’heure de Pie. Pas de possibilité de tchatter avec des personnes ne partageant pas le même nom de domaine.


        

Promulgation de la loi sur la réutilisation des informations publiques

Publiée le 30 Dec 2015Tags : Réutilisation des informations publiques.
Par Didier FROCHOT, infostratèges

La loi dite "gratuité et réutilisation des informations du secteur public" a été définitivement adoptée par le Parlement, le 9 décembre à l'Assemblée nationale et le 17 au Sénat. Elle a été promulguée le 28 décembre et publiée au Journal officiel d'hier, le 29.

Transposition attendue de la directive de 2013

Le projet de loi transposant la directive modificative de 2013 sur la réutilisation des informations du secteur public avait été déposée par le gouvernement devant l'Assemblée nationale le 31 juillet dernier (notre actualité du 7 septembre). Il était grand temps puisque la date limite de transposition de ce texte européen était le 18 juillet. Cette fois on n'aura pris que 6 gros mois de retard...


      

Lancement de LiSSa, base de données de la Littérature Scientifique en Santé

Depuis plus d’un an, l’équipe à l’origine de CISMeF est engagée dans un projet de construction d’une base de données bibliographiques de la littérature scientifique en Santé de langue française (voir ici et ).
Cette base de données a désormais un nom : LiSSa pour Littérature Scientifique en Santé et une adresse Web définitive www.lissa.fr.


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Nouvelle carte de France des CHU

Reseau CHU - jeudi 10 décembre 2015. 

Les 22 régions métropolitaines ne seront plus que 13 au 1er janvier 2016, réforme territoriale oblige. Ces nouveaux territoires parfois grands comme un pays compteront tous plusieurs CHU*. Ainsi la région Aquitaine-Poitou-Charentes-Limousin, la plus vaste de France avec une superficie de près de 84 000km² identique à celle de l'Autriche, abritera trois CHU, Bordeaux, Limoges, Poitiers. Quant à la région Rhône-Alpes-Auvergne, très vaste elle-aussi avec 69 711 km2, elle comprendra 4 CHU Clermont-Ferrand, Grenoble, Lyon et Saint-Etienne. De même l'Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine réunira 4 établissements d’envergure 3 CHU Nancy, Reims et Strasbourg et 1 CHR, Metz-Thionville.
Quelle sera la conséquence de cette nouvelle géographie sur l'organisation sanitaire ?
Il n’y aura plus que 13 Agence Régionale de Santé en métropole et leur siège ne sera pas forcément celui du chef-lieu régional. Ainsi certaines grandes villes qui ne sont plus capitales régionales demeureront les villes-siège d'ARS comme Caen, Montpellier et Nancy.
Dans les autres régions, la capitale sera aussi siège d'ARS.


 

Comment se déroule un essai clinique ?

[15 janvier 2016 - 15h34] [mis à jour le 15 janvier 2016 à 17h00]
Le drame survenu au CHU de Rennes (6 hospitalisations dont un patient en état de mort cérébrale lors d’un essai clinique) pousse à s’interroger sur le déroulé de ce type d’étude. Ces travaux ne sont-ils pas censés être strictement encadrés et garantir la sécurité des participants ?
Avant de pouvoir être prescrit par un médecin, un médicament fait tout naturellement l’objet de recherches et de vérification. Pour débuter, l’essai doit avoir obtenu un avis favorable du Comité de protection des personnes (CPP) et une autorisation de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).
Ensuite seulement, il devra subir toute une batterie de tests dont l’objectif est de protéger le patient et de lui garantir un résultat satisfaisant lorsque le traitement lui sera prescrit. Concrètement, comment se déroulent ces essais ? En fait, la méthodologie doit répondre à 3 critères : transparence, sécurité et qualité. Après avoir été testé en laboratoire, le produit doit être évalué par étapes (nommées « phases »).

15 janv. 2016


Finances hospitalieres n° 98 janvier2016
          
Adoptée en toute discrétion par l'Assemblée nationale après une procédure chaotique le 17 décembre dernier, la Loi de modernisation de notre système de santé n'aura pas atteint les objectifs de rénovation profonde de celui-ci qu’elle s’était pourtant fixée. Sans préjuger de la décision du Conseil constitutionnel qui suivra le recours introduit le 21 décembre, on peut dire sans risque que cette réforme ne constitue qu’un épisode supplémentaire dans la longue histoire du système hospitalier. Les aspects institutionnels de la loi n’ont pas été mis en avant, la communication du ministère ne se concentrant que sur des mesures phares, mais isolées comme le tiers-payant. Pourtant, le volet du texte relatif à la territorialisation met en place des groupements hospitaliers de territoire destinés notamment à compenser l’échec des conférences hospitalières de territoire au nombre de seulement 45 à l’automne 2014. Ce volet a d’ailleurs retenu l’attention des professionnels, car si les hôpitaux publics doivent avoir signifié à l’Agence régionale de santé leur participation à un GHT avant le 1er janvier 2016, bon nombre de ces projets ont conduit au recrutement précoce de DIM pour ces nouvelles structures. La certitude liée à la création de cette forme de coopération intégrée n’est pourtant pas sans laisser demeurer de réelles interrogations sur les conséquences de cette évolution institutionnelle.

Mediscoop  du 15/01/16

       
Libération
Dans Libération, Eric Favereau revient dans un long article sur « la mort, en décembre, du cardiologue Jean-Louis Megnien [qui] a laissé une ambiance délétère dans l’établissement. Mis en cause par certains, le chef des médecins sort du silence ».
Le journaliste observe ainsi qu’« il y a comme un sinistre jeu de balancier qui se déroule ces jours-ci à l’Hôpital européen Georges-Pompidou. […] Après «c’est la faute de la directrice», c’est désormais le tour de «c’est la faute à un médecin» ».
« Rumeurs, mails douteux, manipulations, c’est comme si tout remontait. On aurait pu croire qu’après ce drame, il y aurait eu un peu de retenue de la part des différents acteurs. Surtout, alors que cet établissement avait été secoué par différentes crises liées aux conditions de sa naissance - conglomérat de trois hôpitaux où les mandarins de l’époque ont cherché avant tout à maintenir leur territoire -, la nouvelle génération de médecins semble s’engluer, elle aussi, dans des attitudes d’un autre temps 
», remarque Eric Favereau.
Le journaliste relève qu’« en dépit de règles apparemment transparentes, avec des appels d’offres ouverts à tous, les nominations des chefs des grands services parisiens se font dans une forte opacité, entre réseaux et influences ».

6 janv. 2016




         

 « Les médecins lancent l'offensive sur leurs tarifs »

mediscoop du 6/01/16

Solveig Godeluck note en effet dans les Echos que « c'est le moment pour les médecins de montrer leurs muscles. Une négociation capitale pour leur profession va s'engager en février. D'ici à cet été, ils doivent réécrire l'accord qui les lie à l'Assurance-maladie pour 5 ans ».
La journaliste rappelle que « leur première revendication est la revalorisation de la consultation, alors que le tarif de base est figé à 23 € pour un généraliste et à 25 € pour un spécialiste depuis janvier 2011. Le tout dans un climat tendu : après le vote d'une loi santé qui les horripile et une mobilisation contre le tiers-payant généralisé qui n'a servi à rien, les médecins sont à cran ».


           
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          Paris, le 6 janvier 2016


COMMUNIQUE DE PRESSE

Marisol TOURAINE annonce la création
du Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie

Marisol TOURAINE, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, annonce la création du Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie. Inscrite dans le cadre du Plan national 2015-2018 pour le développement des soins palliatifs et l’accompagnement en fin de vie, cette mesure vise à mieux informer les patients sur leurs droits effectifs. Le décret relatif à cette création a été publié ce jour au Journal officiel.
Issu de la fusion du Centre national de ressources en soins palliatifs et de l’Observatoire national de la fin de vie, qui sont hébergés par la fondation La Croix Saint Simon, ce centre aura notamment pour mission de contribuer à une meilleure connaissance des soins palliatifs et de l’accompagnement en fin de vie. Il sera également chargé, d’ici un an, de mettre en œuvre une grande campagne nationale de communication à destination des Français sur les soins palliatifs.

5 janv. 2016




         
« Un plan antisuicide à l’AP-HP »

mediscoop du 5/01/16

Le Parisien note en effet qu’« on ne l’a pas encore entendu depuis la mort du Pr Megnien, mais voici une des réponses du directeur général de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), Martin Hirsch. Un plan d’action pour mieux prévenir et détecter le risque suicidaire a été adopté, hier, par le directoire de l’AP-HP ».
Le journal explique que ce dernier « s’était réuni exceptionnellement après le drame qui s’est déroulé le 17 décembre à l’Hôpital européen Georges-Pompidou (HEGP). Ce jour-là, le Pr Jean-Louis Megnien, âgé de 54 ans et père de cinq enfants, mettait fin à ses jours en se défenestrant du 7e étage de cet établissement hospitalier du XVe arrondissement de Paris ».
Le Parisien indique que
« la veuve de ce brillant cardiologue a d’ailleurs porté plainte pour harcèlement moral. Harcèlement qui est attesté par certains confrères, qui font le portrait d’un homme «tombé en disgrâce» et qui, à la grande surprise de beaucoup, n’obtient pas le poste de chef de service qu’il attendait

Sites web hospitaliers : peut mieux faire !

DSIH, DL, LUNDI 04 JANVIER 2016 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagirInterrogés pour la réalisation d’un « Livre Blanc sur l’accueil, le divertissement et les services à l’hôpital » (1), les patients se montrent plutôt déçus par les sites web hospitaliers.

Pour plus de 4 personnes sur 10, ces sites ne répondent pas du tout à leurs attentes en matière de contenus ou de lisibilité. A peine 2 sur 10 se disent satisfaits et 4 sur 10 ne le sont que partiellement. Or, l’accès à un site d’établissement leur semble important (voire très important). Ils y recherchent en premier lieu des informations pratiques sur l’hospitalisation (82%), mais aussi des contenus liés aux pathologies. Cependant, observe la publication, « le contenu est encore souvent orienté vers les professionnels et moins vers le patient ». Ses auteurs rappellent aussi que les patients attendent des services en ligne tels que la prise de rendez-vous, le paiement, la localisation dans l’établissement… Ils mettent en avant l’exemple du centre hospitalier d’Avignon dont le site web est clairement orienté patients avec une ergonomie et une usabilité pensées pour eux.
Réseaux sociaux et réputation
My Hospi Friends étant à l’origine de ce Livre blanc, avec Hôpital Trend, la question de l’intérêt d’un réseau social affinitaire a bien évidemment été posée : 65% des personnes interrogées estiment que la mise à disposition de ce dispositif de dialogue et de divertissement est important (ou très important).
Le livre blanc précise que les deux tiers des CHU possèdent une page Facebook et/ou un compte twitter, tandis que la moitié ont déjà ouvert une chaine Youtube. Il souligne que les réseaux sociaux permettent non seulement de diffuser l’information institutionnelle mais aussi de développer une relation de proximité avec les internautes. Sans oublier qu’ils peuvent contribuer à la réputation de l’établissement. Il ne manque pas de rappeler que les établissements de santé parisiens n’ont pas hésité à utiliser les réseaux sociaux lors des attentats de novembre 2015 pour faire une campagne sur le don du sang.
(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
- See more at: http://www.dsih.fr/article/1787/sites-web-hospitaliers-peut-mieux-faire.html?&utm_medium=email&utm_source=nl&utm_campaign=NL150#sthash.LCGs6HCE.dpuf

Sites web hospitaliers : peut mieux faire !

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Pour plus de 4 personnes sur 10, ces sites ne répondent pas du tout à leurs attentes en matière de contenus ou de lisibilité. A peine 2 sur 10 se disent satisfaits et 4 sur 10 ne le sont que partiellement. Or, l’accès à un site d’établissement leur semble important (voire très important). Ils y recherchent en premier lieu des informations pratiques sur l’hospitalisation (82%), mais aussi des contenus liés aux pathologies. Cependant, observe la publication, « le contenu est encore souvent orienté vers les professionnels et moins vers le patient ». Ses auteurs rappellent aussi que les patients attendent des services en ligne tels que la prise de rendez-vous, le paiement, la localisation dans l’établissement… Ils mettent en avant l’exemple du centre hospitalier d’Avignon dont le site web est clairement orienté patients avec une ergonomie et une usabilité pensées pour eux.
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Le livre blanc précise que les deux tiers des CHU possèdent une page Facebook et/ou un compte twitter, tandis que la moitié ont déjà ouvert une chaine Youtube. Il souligne que les réseaux sociaux permettent non seulement de diffuser l’information institutionnelle mais aussi de développer une relation de proximité avec les internautes. Sans oublier qu’ils peuvent contribuer à la réputation de l’établissement. Il ne manque pas de rappeler que les établissements de santé parisiens n’ont pas hésité à utiliser les réseaux sociaux lors des attentats de novembre 2015 pour faire une campagne sur le don du sang.
(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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Sites web hospitaliers : peut mieux faire !

DSIH, DL, LUNDI 04 JANVIER 2016 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagirInterrogés pour la réalisation d’un « Livre Blanc sur l’accueil, le divertissement et les services à l’hôpital » (1), les patients se montrent plutôt déçus par les sites web hospitaliers.

Pour plus de 4 personnes sur 10, ces sites ne répondent pas du tout à leurs attentes en matière de contenus ou de lisibilité. A peine 2 sur 10 se disent satisfaits et 4 sur 10 ne le sont que partiellement. Or, l’accès à un site d’établissement leur semble important (voire très important). Ils y recherchent en premier lieu des informations pratiques sur l’hospitalisation (82%), mais aussi des contenus liés aux pathologies. Cependant, observe la publication, « le contenu est encore souvent orienté vers les professionnels et moins vers le patient ». Ses auteurs rappellent aussi que les patients attendent des services en ligne tels que la prise de rendez-vous, le paiement, la localisation dans l’établissement… Ils mettent en avant l’exemple du centre hospitalier d’Avignon dont le site web est clairement orienté patients avec une ergonomie et une usabilité pensées pour eux.
Réseaux sociaux et réputation
My Hospi Friends étant à l’origine de ce Livre blanc, avec Hôpital Trend, la question de l’intérêt d’un réseau social affinitaire a bien évidemment été posée : 65% des personnes interrogées estiment que la mise à disposition de ce dispositif de dialogue et de divertissement est important (ou très important).
Le livre blanc précise que les deux tiers des CHU possèdent une page Facebook et/ou un compte twitter, tandis que la moitié ont déjà ouvert une chaine Youtube. Il souligne que les réseaux sociaux permettent non seulement de diffuser l’information institutionnelle mais aussi de développer une relation de proximité avec les internautes. Sans oublier qu’ils peuvent contribuer à la réputation de l’établissement. Il ne manque pas de rappeler que les établissements de santé parisiens n’ont pas hésité à utiliser les réseaux sociaux lors des attentats de novembre 2015 pour faire une campagne sur le don du sang.
(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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Réseaux sociaux et réputation
My Hospi Friends étant à l’origine de ce Livre blanc, avec Hôpital Trend, la question de l’intérêt d’un réseau social affinitaire a bien évidemment été posée : 65% des personnes interrogées estiment que la mise à disposition de ce dispositif de dialogue et de divertissement est important (ou très important).
Le livre blanc précise que les deux tiers des CHU possèdent une page Facebook et/ou un compte twitter, tandis que la moitié ont déjà ouvert une chaine Youtube. Il souligne que les réseaux sociaux permettent non seulement de diffuser l’information institutionnelle mais aussi de développer une relation de proximité avec les internautes. Sans oublier qu’ils peuvent contribuer à la réputation de l’établissement. Il ne manque pas de rappeler que les établissements de santé parisiens n’ont pas hésité à utiliser les réseaux sociaux lors des attentats de novembre 2015 pour faire une campagne sur le don du sang.
(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
- See more at: http://www.dsih.fr/article/1787/sites-web-hospitaliers-peut-mieux-faire.html?&utm_medium=email&utm_source=nl&utm_campaign=NL150#sthash.LCGs6HCE.dpuf

Sites web hospitaliers : peut mieux faire !

DSIH, DL, LUNDI 04 JANVIER 2016 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagirInterrogés pour la réalisation d’un « Livre Blanc sur l’accueil, le divertissement et les services à l’hôpital » (1), les patients se montrent plutôt déçus par les sites web hospitaliers.

Pour plus de 4 personnes sur 10, ces sites ne répondent pas du tout à leurs attentes en matière de contenus ou de lisibilité. A peine 2 sur 10 se disent satisfaits et 4 sur 10 ne le sont que partiellement. Or, l’accès à un site d’établissement leur semble important (voire très important). Ils y recherchent en premier lieu des informations pratiques sur l’hospitalisation (82%), mais aussi des contenus liés aux pathologies. Cependant, observe la publication, « le contenu est encore souvent orienté vers les professionnels et moins vers le patient ». Ses auteurs rappellent aussi que les patients attendent des services en ligne tels que la prise de rendez-vous, le paiement, la localisation dans l’établissement… Ils mettent en avant l’exemple du centre hospitalier d’Avignon dont le site web est clairement orienté patients avec une ergonomie et une usabilité pensées pour eux.
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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Sites web hospitaliers : peut mieux faire !

DSIH, DL, LUNDI 04 JANVIER 2016 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagirInterrogés pour la réalisation d’un « Livre Blanc sur l’accueil, le divertissement et les services à l’hôpital » (1), les patients se montrent plutôt déçus par les sites web hospitaliers.

Pour plus de 4 personnes sur 10, ces sites ne répondent pas du tout à leurs attentes en matière de contenus ou de lisibilité. A peine 2 sur 10 se disent satisfaits et 4 sur 10 ne le sont que partiellement. Or, l’accès à un site d’établissement leur semble important (voire très important). Ils y recherchent en premier lieu des informations pratiques sur l’hospitalisation (82%), mais aussi des contenus liés aux pathologies. Cependant, observe la publication, « le contenu est encore souvent orienté vers les professionnels et moins vers le patient ». Ses auteurs rappellent aussi que les patients attendent des services en ligne tels que la prise de rendez-vous, le paiement, la localisation dans l’établissement… Ils mettent en avant l’exemple du centre hospitalier d’Avignon dont le site web est clairement orienté patients avec une ergonomie et une usabilité pensées pour eux.
Réseaux sociaux et réputation
My Hospi Friends étant à l’origine de ce Livre blanc, avec Hôpital Trend, la question de l’intérêt d’un réseau social affinitaire a bien évidemment été posée : 65% des personnes interrogées estiment que la mise à disposition de ce dispositif de dialogue et de divertissement est important (ou très important).
Le livre blanc précise que les deux tiers des CHU possèdent une page Facebook et/ou un compte twitter, tandis que la moitié ont déjà ouvert une chaine Youtube. Il souligne que les réseaux sociaux permettent non seulement de diffuser l’information institutionnelle mais aussi de développer une relation de proximité avec les internautes. Sans oublier qu’ils peuvent contribuer à la réputation de l’établissement. Il ne manque pas de rappeler que les établissements de santé parisiens n’ont pas hésité à utiliser les réseaux sociaux lors des attentats de novembre 2015 pour faire une campagne sur le don du sang.
(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
- See more at: http://www.dsih.fr/article/1787/sites-web-hospitaliers-peut-mieux-faire.html?&utm_medium=email&utm_source=nl&utm_campaign=NL150#sthash.LCGs6HCE.dpuf

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Le livre blanc précise que les deux tiers des CHU possèdent une page Facebook et/ou un compte twitter, tandis que la moitié ont déjà ouvert une chaine Youtube. Il souligne que les réseaux sociaux permettent non seulement de diffuser l’information institutionnelle mais aussi de développer une relation de proximité avec les internautes. Sans oublier qu’ils peuvent contribuer à la réputation de l’établissement. Il ne manque pas de rappeler que les établissements de santé parisiens n’ont pas hésité à utiliser les réseaux sociaux lors des attentats de novembre 2015 pour faire une campagne sur le don du sang.
(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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Réseaux sociaux et réputation
My Hospi Friends étant à l’origine de ce Livre blanc, avec Hôpital Trend, la question de l’intérêt d’un réseau social affinitaire a bien évidemment été posée : 65% des personnes interrogées estiment que la mise à disposition de ce dispositif de dialogue et de divertissement est important (ou très important).
Le livre blanc précise que les deux tiers des CHU possèdent une page Facebook et/ou un compte twitter, tandis que la moitié ont déjà ouvert une chaine Youtube. Il souligne que les réseaux sociaux permettent non seulement de diffuser l’information institutionnelle mais aussi de développer une relation de proximité avec les internautes. Sans oublier qu’ils peuvent contribuer à la réputation de l’établissement. Il ne manque pas de rappeler que les établissements de santé parisiens n’ont pas hésité à utiliser les réseaux sociaux lors des attentats de novembre 2015 pour faire une campagne sur le don du sang.
(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
- See more at: http://www.dsih.fr/article/1787/sites-web-hospitaliers-peut-mieux-faire.html?&utm_medium=email&utm_source=nl&utm_campaign=NL150#sthash.LCGs6HCE.dpuf

Sites web hospitaliers : peut mieux faire !

DSIH, DL, LUNDI 04 JANVIER 2016 Soyez le premier à réagirSoyez le premier à réagirInterrogés pour la réalisation d’un « Livre Blanc sur l’accueil, le divertissement et les services à l’hôpital » (1), les patients se montrent plutôt déçus par les sites web hospitaliers.

Pour plus de 4 personnes sur 10, ces sites ne répondent pas du tout à leurs attentes en matière de contenus ou de lisibilité. A peine 2 sur 10 se disent satisfaits et 4 sur 10 ne le sont que partiellement. Or, l’accès à un site d’établissement leur semble important (voire très important). Ils y recherchent en premier lieu des informations pratiques sur l’hospitalisation (82%), mais aussi des contenus liés aux pathologies. Cependant, observe la publication, « le contenu est encore souvent orienté vers les professionnels et moins vers le patient ». Ses auteurs rappellent aussi que les patients attendent des services en ligne tels que la prise de rendez-vous, le paiement, la localisation dans l’établissement… Ils mettent en avant l’exemple du centre hospitalier d’Avignon dont le site web est clairement orienté patients avec une ergonomie et une usabilité pensées pour eux.
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(1)  Lire aussi : http://www.dsih.fr/article/1774/my-hospi-friends-et-hopital-trend-ont-devoile-le-premier-livre-blanc-sur-l-accueil-le-divertissement-et-les-services-a-l-hopital.html
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