En pleine tempête sur le Mediator, qui a mis à jour la « bureaucratie sanitaire » de l'Afssaps, c'est désormais à la Haute autorité de santé (HAS) d'être vivement critiquée. Non par un rapport officiel mais dans une thèse de médecine générale accablante sur les rapports de la HAS avec les laboratoires pharmaceutiques.
Soutenue en juillet dernier à l'université de Poitiers par Louis-Adrien Delarue, médecin généraliste à Angoulême, elle secoue le milieu. Son titre :
« Les Recommandations pour la pratique clinique élaborées par les autorités sanitaires françaises sont-elles sous influence industrielle ? A propos de trois classes thérapeutiques. »
Soutenue en juillet dernier à l'université de Poitiers par Louis-Adrien Delarue, médecin généraliste à Angoulême, elle secoue le milieu. Son titre :
« Les Recommandations pour la pratique clinique élaborées par les autorités sanitaires françaises sont-elles sous influence industrielle ? A propos de trois classes thérapeutiques. »